“J’ai une amie qui s’appelle Sarah, dit la femme à l'autre bout du fil. Elle est enceinte et dit qu’elle ne peut pas se permettre d’avoir un autre enfant, elle en a déjà trois et son mari ne gagne pas beaucoup, alors elle a décidé d’avorter.”
Je suis né à Paris, après la Deuxième Guerre mondiale. Je suis l’unique enfant d’un couple qui était déjà âgé. Depuis ma plus tendre enfance, j’ai compris qu’il y avait une sorte de secret autour de ma naissance...
On me dit que j'avais une mission spéciale qui avait priorité sur tout ce que je faisais d’autre. On m'instruisit de prendre autant de temps que nécessaire sur mes études.
“Quand un Juif à Miami voit des photos de Juifs au Mur occidental qui mettent les téfiline, dit le Rabbi, il ressent une envie de mettre lui-même les téfiline.”
Il pleuvait à verse. Trois minutes à l’extérieur étaient suffisantes pour être trempé jusqu’à l’os. Mais la marche annuelle eut lieu comme d’habitude. Cependant, en arrivant au parc, nous trouvâmes les portes fermées.
Le Rav Hodakov, le secrétaire du Rabbi, était en ligne: «Le Rabbi dit de dire à la jeune femme qu’il y a un Juif à Brooklyn qui ne peut pas dormir la nuit parce qu’elle a l’intention de se marier avec un non-juif.»
J’attribuerai toujours la première étape de ce rétablissement à l’homme qui, avec son intuition inouïe et sa foi en l’humanité, a pratiqué dans mon esprit, de façon totalement altruiste, une intervention thérapeutique précise et n’a exigé en retour ni mon âme, ni mon compte en banque...
Après une laborieuse recherche, nous trouvâmes une station-service et y pénétrâmes. Derrière le comptoir se trouvait un homme bâti en armoire à glace à l’allure peu rassurante qui en apercevant deux Juifs revêtus de caftans noirs, nous fit signe de le suivre dans l’arrière-boutique...
Comme pour le méchant Haman de la Méguila, la fin du sinistre Staline est liée à la fête de Pourim. Savez-vous ce que fit le Rabbi de Loubavitch ce soir-là ?
Comme prévu, le discours que je prononçai au cours de ce "Chabbat plein" fut un véritable désastre – décousu, haché et sans grand intérêt. C’était le chant du cygne de l’orateur...
« Au cours de notre entretien avec le Rabbi, j’ai montré au Rabbi cette photo de notre famille. Le Rabbi l’a prise et il a désigné du doigt l'une de mes filles... »
Le directeur de la yéchiva « ‘Hayé Olam » souffrit pendant plusieurs années de ses jambes au point qu’il finit par être condamné à rester au lit ; les médecins envisageaient de l’amputer d’une jambe et peut-être même de la seconde, à D.ieu ne plaise...
"C’était l’anniversaire du décès de mon père qui était enterré près du Ohel du Rabbi. J’avais décidé de voyager de nuit pour être à New York vers 5 h du matin, de me rendre au Ohel puis sur la tombe de mon père et de repartir pour être au travail à Boston à 9 h du matin. Au Ohel, à 5 h du matin, je fis une rencontre stupéfiante..."
C’était en 1981, à la fin du mois de Tichri 5742. Je venais de rentrer de New York où j’avais passé le mois des fêtes au «770». Un message me disait de rappeler d’urgence le professeur Yossef Tsuriel de ‘Haïfa...
Le policier s'aperçut que ce que Mme Goldstein lui tendait n'était nullement un permis de conduire. Il lui dit alors sèchement : « Madame, c'est un permis de conduire que je vous ai demandé ! »
Assailli de toutes parts par les soldats égyptiens dans sa petite position au milieu du désert du Sinaï, la moitié de ses huit compagnons gisant à terre, Aryé vit quelque chose qu'il n'oubliera jamais...
J'avais moralement subi un grand choc et je décidai donc de reporter mon retour en Israël. Dans un premier temps, je n'ai pas modifié mon mode de vie habituel, ni ma tenue vestimentaire. Puis, peu à peu, mon naufrage moral commença..
Le jour de Pourim 1988, après avoir passé la journée à distribuer les Michloa’h Manot ainsi que les Matanot Laévyonim, nous étions enfin assis pour le festin de la fête. Soudain une sirène retentit.
Quand Rav Nir Gavriel – le Chalia’h, représentant du Rabbi – dans le quartier Florentine de Tel-Aviv, se dirigea vers sa synagogue ce jeudi-là, il remarqua sur son téléphone portable qu’il avait reçu plusieurs appels en absence, provenant du même numéro inconnu...
Un ancien sanatorium d'enfants juifs décimé par la Shoah. Une école juive dont on empêche la construction au même endroit. Et une demande de bénédiction du Rabbi de Loubavitch...
Une petite communauté juive se retrouve dans la détresse de l'exiguité de ses locaux. Mais un Tsadik n'est pas limité, même par le temps, et c'est avec 20 ans d'avance que le Rabbi va répondre à leur requête...
Dans cette synagogue du Bronx, le rabbin, Rav Rabinowitz, s’asseyait au coin de la table plutôt qu’à sa tête. « Nul ne s’asseoit à cette place ! » expliqua le vieux rabbin. Il raconta alors pourquoi...
Suite à l'attentat sanglant de Kfar 'Habad en 1956
Ces ‘Hassidim qui avaient survécu aux pogromes du Tsar Nicolas et que l’Armée Rouge n’avait pas intimidés, qui avaient été exilés en Sibérie dans les terrifiants « camps de rééducation » du Goulag, qui ne s’étaient pas inclinés devant le KGB, étaient maintenant paralysés, désespérés. Au cœur du nouvel Etat juif, ils avaient été frappés au plus profond d’eux-mêmes
Cet homme était un 'hassid de Belz bien établi, aux opinions tranchées, qui ne tarissait pas de critiques sur les "campagnes des Mitsvot" du Rabbi de Loubavitch...
Personne ne savait comment me dire les choses et, bien que j’eusse compris au fond de moi, je persistait à espérer pendant ces interminables minutes. Espérer qu’il s’agissait seulement d’un accident...
« Mon mari s’est rendu au Ohel pour demander une bénédiction pour sa santé. Et avant qu’on ait pu réaliser quoi que ce soit, il se retrouve à l’hôpital avec deux opérations : cardiaque et cérébrale ! »
«Dans quelle école votre fille est-elle inscrite?»
par Tuvia Bolton
Le Rav Gurary ne comprenait pas : il était persuadé que le Rabbi accomplirait encore un miracle, comme tant d’autres fois, mais ce n’était pas le cas ! Et, de plus, il devait transmettre au père bouleversé un étrange message...
Jamais je n’ai considéré notre souffrance comme une punition de D.ieu. A force de réflexion, j’en étais venue à la conclusion que D.ieu voulait quelque chose de nous et je me demandais ce que cela pouvait être. Dès que j’aurais compris ce que D.ieu voulait et que je l’accomplirais – j’en étais persuadée – Il arrêterait de nous envoyer Ses messages de manière aussi douloureuse...
“Je veux vous donner des Téfiline à emporter avec vous de l’autre côté de l’océan”, dit le Rabbi au jeune appelé. Celui-ci, surpris, lui répondit qu'il avait déjà sa propre paire. Le Rabbi devint très sérieux: “Avez-vous entendu ce que j’ai dit? Je veux vous donner des Téfiline à emporter avec vous!”
Nombreux sont ceux qui peuvent témoigner que, quand ils ont besoin d’aide, le Rabbi est toujours là pour les guider et les bénir dans tout ce dont ils ont besoin, même plus de douze ans après la date fatidique du 3 Tamouz 1994... Le Rabbi n’abandonne pas ceux qui ont confiance en lui et, en particulier, ses « Chlou’him », les émissaires qu’il a envoyés aux quatre coins du monde afin d’amener chaque Juif à réaliser son identité juive.
Le fait que le Rabbi insiste pour avoir des nouvelles de sa sœur poussa Michaël à lui téléphoner à Gibraltar. Mais personne ne répondait de l’autre côté de la ligne. De plus en plus inquiet, il appela ses parents mais là aussi, personne ne répondait...
Israël sortit de la bibliothèque, tentant de dissimuler son émotion mais il avait l’impression d’avoir accompli une mission d’espionnage très compliquée, comme s’il était parvenu à s’introduire dans le Q.G. ennemi...
"Vous voulez dire que nous devons aborder les Juifs dans la rue, leur demander s’ils sont Juifs et les convaincre de pratiquer les commandements ? Ils nous prendront pour des fous ! Qu’aurons-nous gagné ?"
J’étais emprisonné dans un camp de travail, à l’extrême nord de l’Union Soviétique. Il faisait soixante degrés en dessous de zéro et tout ce qu’on pouvait voir, c’était de la neige, partout.C’était Roch Hachana et je ne pouvais réfléchir qu’à une chose : où se trouvaient ma femme et mes enfants ?
Qui étaient ces ‘Hassidim ? Peu importe leurs noms. Le Rabbi avait donné un conseil, ils avaient laissé de côté toutes leurs préoccupations personnelles et ils s’étaient dévoués au chevet d’une personne qu’ils ne connaissaient pas, malgré sa situation désespérée. Oui, un miracle a bien eu lieu.
1969. Un jeune garçon regarde avec fascination un homme qui danse éperdument. Quand son père voit de qui il s'agit, ses yeux s’emplissent de larmes et il pousse un profond soupir...
Quand le Rabbi vit cela, il fit le tour de son bureau et l’a soulevé, et le reste du temps, j’ai parlé avec le Rabbi alors qu’Hillel dormait sur les genoux du Rabbi.
Avec le plus grand sérieux, il insista pour que je lui réponde. “Qui t’a nommée?” J’ai souri et ai répondu: “Mes parents, bien sûr! Qui t’a nommé, toi?”
La jeune femme quitta la pièce, mais le Rabbi me demanda immédiatement de la rappeler en expliquant: “Je ne veux pas qu’elle pense que nous discutons d’elle derrière son dos.”
On pourrait penser que le meilleur endroit pour garder une ambulance est un parking couvert. En la gardant dans un endroit chaud, à l’abri des intempéries, on éviterait de devoir réchauffer le véhicule et on gagnerait du temps en cas d’urgence…
Les médecins en Alaska ont dit que j'avais une hémorragie interne. Puis un rabbin de l’Oregon m’a rappelé l’existence d’une application que j’ai dans mon téléphone.
À partir de 1986, chaque dimanche, le Rabbi se tint dans une petite pièce près de son bureau tandis que des milliers d’hommes, de femmes et d’enfants défilaient devant lui pour le voir et recevoir sa bénédiction. Et à chacun d’eux, le Rabbi remettait un billet d’un dollar.