Tandis que les forces de l’ordre cherchent à comprendre pourquoi et comment cela s’est produit, nous nous intéressons aux paroles du Rabbi après la tentative d’assassinat du président Ronald Reagan.
L’actualité est brûlante. Le monde entier a vu l’agonie d’un homme et l’indifférence d’un autre homme. Le bourreau était blanc et la victime était noire, et cela se passait aux États-Unis, dans le climat que l’on sait. La question du racisme est sur toutes les lèvres. Sommes-nous irrémédiablement voués au racisme?
Ce n’est pas un combat entre deux idéologies rivales. C’est une lutte entre deux types de force: l’une qui se nourrit de l’ordre, et une autre qui prospère dans le chaos. L’ordre peut-il vaincre le chaos? La modération peut-elle vaincre l’extrémisme?
Mon mari, Asher, est un bibliomane. Oui, c’est un vrai mot. Il suffit de le chercher dans le dictionnaire. D'après le Webster, c’est « celui qui a la manie de livres. » Lorsque nous nous sommes rencontrés, il a essayé de me mettre en garde, mais je n’avais aucune idée de ce qu’il voulait dire...
Chaque jour, ou presque, s’ouvre sur des visions apocalyptiques de monnaies chancelantes, d’économies trébuchantes, de dettes florissantes et de budgets vacillants. Y a-t-il un sens à tout cela ?
Une parabole ‘hassidique et le sauvetage des mineurs chiliens
par Shais Taub
Quand nous considérons ces hommes qui sont sortis d’un enterrement de 69 jours dans les entrailles de la terre, il apparaît qu’il y a un besoin qui semble encore plus important pour la survie que tous les autres besoins. Le besoin d’un chef
On aurait pu croire que l’homme serait assez sage – ou assez maître de sa propre technologie – pour ne pas détruire ces cadeaux simples et merveilleux : une mer bleue, des arbres verts, des animaux vivants...
J’aimerai beaucoup envoyer un chèque pour aider les gens qui souffrent en Haïti après le tremblement de terre. Mais ne devrions-nous pas aider les nôtres qui souffrent avant d’aider les autres ?
Voici que penser à l’autre, se préoccuper de lui devient, avec évidence, la responsabilité de chacun. Ceux à qui la pensée juive a, de longtemps, enseigné l’amour du prochain, la volonté de lui venir en aide, matériellement ou spirituellement, n’en sont pas surpris...
« Et qu’en est-il du sort des femmes dans le judaïsme traditionnel ? Les prescriptions de la loi juive ne les relèguent-elles pas dans un rôle second, ne les limitent-elles pas à un cercle d’activités qui les cantonnent aux préoccupations domestiques ? » Réponse.
Dans The Economist de septembre 2006 ’on pouvait lire que « dans l’histoire de l’aviation, le nombre d’appareils gros porteurs s’étant posés sur l’eau avec succès est égal à zéro... »
Les stéréotypes prévisibles sur les Juifs et l’argent commencent à ressurgir de partout, recyclant la vieille calomnie selon laquelle la tradition juive permettrait de traiter malhonnêtement avec autrui dès lors que l’on mène une vie pieuse par ailleurs. Rien ne pourrait être plus faux.
Voilà que l’instabilité, que nous avions parfois cru avoir conjurée, revient comme une règle qui s’impose avec toute la force des choses longtemps contenues. Mais, de cette instabilité, il est possible de faire germer un sentiment essentiel...
De l’harmonie intérieure à l’harmonie universelle, matérielle et spirituelle : ce n’est jamais qu’un voyage à entreprendre dont l’itinéraire nous fut révélé au mont Sinaï