Il m'avait toujours semblé que, pour la plupart d'entre nous, les lois de la Torah restreignant les relations entre hommes et femmes étaient une sorte de "punition collective" infligée à tous pour le péché de quelques uns. Toutefois, mon point de vue à ce sujet a récemment changé...
Lorsque nous sommes vraiment investis dans le fait de prodiguer et de recevoir de l’amour, nous ne nous posons pas de telles questions philosophiques. C’est seulement quand une chose vient à manquer que nous nous mettons à l’analyser et à en contempler la nature profonde...
“Avez-vous les mêmes sentiments pour votre conjoint que lorsque vous vous êtes mariés?” - Cette question devrait-elle être ce qui détermine le fait de rester marié(e)?
S’il est vrai que les actes sont plus éloquents que les mots, il y a un élément d’appréciation qui s’exprime plus dans nos paroles que dans nos actes...
Pourquoi perdre du temps et de l’énergie à se disputer ? Ne serait-il pas tellement préférable si vous pouviez aider votre conjoint à « voir la lumière » ?
Les âmes d’un mari et d’une femme sont frère et sœur, et plus proches encore. Si elles peuvent revenir à cette unité, une nouvelle sorte d’amour émergera. Un amour inconditionnel.