Étudier chaque semaine les maamarim (discours ‘hassidiques) des ouvrages “Torah Or” et “Likoutei Torah” de l’Admour Hazakène relatif à la lecture de la Torah de cette semaine
Veiller à ce qu’il y ait dans chaque foyer juif des Sifrei Kodech – des Livres Saints du judaïsme essentiels, et à ce qu’il y ait une étude de la Torah à laquelle des étudiants s’investissent totalement.
La coutume d’adresser à la communauté des paroles d’encouragement à la techouva les jours de jeûne semble avoir été en vigueur dans les communautés d’Europe de l’Est avant la Shoah. En 1977, le Rabbi a rétabli cette pratique dans sa synagogue de New York et a encouragé toutes les communautés à faire de même.
La campagne relative à l’étude des sujets de la Guéoula et de Machia’h – la Délivrance messianique – et à la préparation du peuple juif et du monde entier à la venue de Machia’h est l’expression du motif profond de l’ensemble des directives du Rabbi…
Aujourd’hui, l’observance de cette directive est un signe distinctif des ‘hassidim ‘Habad. Cependant, le Rabbi a expliqué l’immense bénéfice que celle-ci apporte à la sainteté et la pureté de l’éducation de nos enfants et il serait donc bon qu’elle soit adoptée par toutes les communautés juives.
Qu’en tout lieu où se trouvent des Juifs dans le monde, on s’efforce de réunir des assemblées chaque Chabbat pour étudier la Torah et pour s’encourager et se renforcer mutuellement dans l’accomplissement de tous les sujets du judaïsme…
En une seule journée, les Chlou’him du Rabbi touchent des centaines de milliers de Juifs dans le monde entier, apportant le judaïsme directement à leurs âmes.
Chaque Juif possède une lettre dans la Torah. Le Rabbi a rendu cela manifeste pour les millions de Juifs qui ont acquis une lettre dans l’un des rouleaux de Torah collectifs. Citant le verset de Daniel (12,1): “En ce temps-là, ton peuple sera sauvé, tout celui qui se trouve inscrit dans le livre”, il expliqua que l’achat d’une lettre dans l’un des Sefer Torah de l’Unité augmente la protection de l’ensemble du peuple juif.
Une boîte de tsédaka fixée au mur devient une partie de la maison, et transforme de ce fait la maison en une “maison de tsédaka”, ce qui apporte force et stabilité au foyer en plus de toutes les bénédictions associées à la tsédaka…
Permettre aux Juifs dont on s’occupe de manger « l’Aliment de la Foi » – la matsa chemoura du Séder de Pessa’h – est un moyen sûr de les faire progresser spirituellement, et de leur faire ainsi mériter les bénédictions matérielles.
Cette coutume a pour but d’amener notre foi en la venue de Machia’h dans le monde du concret et du tangible et de faire que notre préparation à la Délivrance soit intériorisée, tout comme le vin et le matsa sont digérés et assimilés au corps.
Autrefois, seuls certains individus d’exception avaient pour coutume d’étudier le sujet du Temple. Sous l’influence du Rabbi, cette pratique est aujourd’hui largement répandue.
Dans les temps futurs, Ticha BeAv deviendra un jour de réjouissance. Cependant, le Rabbi demande que nous instaurions de la joie en ces jours avant même l’avènement de la délivrance messianique, en organisant des célébrations d’achèvement de l’étude de traités du Talmud…
Depuis la Sortie d’Égypte et le Don de la Torah, nos enfants tiennent la place centrale dans notre peuple. L’éducation de nos enfants est ce qui garantit la continuité et l’éternité de celui-ci.
Cette directive continue de répandre une lumière spirituelle au sein de la communauté juive, tout en éveillant la conscience des jeunes filles juives à l’importance de leur héritage.