Au cours de ses 44 années de direction, il ne prit pas une seule fois de vacances, ni de jours de congé ou de maladie. Ce n’est ni une exagération ni une légende, mais un fait avéré.
Dans son amour pour tous les Juifs, le Rabbi ne faisait pas de distinction entre les ‘Hassidim et les non-‘Hassidim, les pratiquants ou les non-pratiquants. Il n’y avait pas d’étiquettes. Un Juif est un Juif, point final. Un “morceau” de D.ieu, placé dans un corps et planté dans ce monde.
Le Rabbi a entrepris de connecter chaque Juif dans le monde à travers l’initiative spirituelle la plus audacieuse jamais entreprise. Pour le Rabbi, l’unité juive n’était pas un slogan – c’était la réalité.
La Torah n’est pas seulement un guide pour la vie, le Rabbi la voyait comme agissant sur l’existence physique et matérielle, rendant possibles ou modifiant le cours des choses même les plus ordinaires.
Le Rabbi considérait les diverses composantes du monde comme des éléments constitutifs d’un tout unique – un tout qui transcende la somme de ses parties. Il n’y a pas de fragmentation. La fonction de chaque élément affecte l’ensemble.