D’accord, c’était un peu tard pour s’en occuper, juste quelques heures avant 'Hanouka. Mais je n’étais pas inquiète: j’habite à New York, la plus grande ville juive du monde où l’on trouve tout ce qu’on veut à toute heure du jour et de la nuit. Et tout ce que je désirais, c’était une boîte de bougies pour 'Hanouka. Facile?
La lumière de 'Hanouka a la faculté d'éclairer l'obscurité la plus profonde. Natan Charansky nous raconte comment elle a surgit pour lui dans la noirceur du Goulag sibérien...
Dans ce petit village près de Zhitomir, en Ukraine, l'émissaire du Rabbi, Rav Shlomo Wilhelm, pensait seulement apporter un peu de la lumière de 'Hanouka à une vieille dame isolée. Pourtant, et sans le savoir, il allait faire bien plus…
Quand le vieux rabbin alluma la Ménorah, le chef du groupe sortit de ses gonds et hurla : « Éteignez cette lumière. Vous allez ramener le soldat russe en catastrophe, et il va tous nous tuer ! »
"Savez-vous qu’il existe de nombreuses familles juives pour lesquelles il n’y aura pas de lumières de 'Hanouka ce soir ?" demanda Chlomo à ses enfants...
« Depuis quand un rabbin s’est-il intéressé à moi ? Depuis quand un rabbin a-t-il pris la peine de frapper à ma porte et de m’inviter à une fête quelconque ?... »
À quinze ans Fay était une fille timide et sage, plutôt taciturne, du moins en présence des autres. Mais quand elle était seule, il lui arrivait parfois de s'imaginer être l'héroïne d'une histoire de la Bible. L’histoire allait bien vite la rattraper...
C’est l’histoire d’une petite fiole d’huile qui est restée pure, bien que dissimulée dans les cœurs juifs, dans l’ancienne Union Soviétique, malgré soixante-dix ans de communisme et d’oppression...
Le petit Jacob s'installa pour regarder la charmante bougie de ‘Hanouccah. Il tira une chaise, s’assit et contempla avec surprise, de ses petits yeux bleus, la minuscule flamme. La petite lueur vacilla et fit une révérence. « Joyeux ‘Hanouccah », dit la lumière...
Je n’oublierai jamais le dernier ‘Hanouccah dans les baraquements. En ces derniers jours avant la libération, les nazis étaient plus imprévisibles et plus cruels que jamais...
La version de mon père est à la fois mélodique et lugubre, pleine de crescendos dramatiques et de liturgie cadencée. Les émotions qu’elle suscite évoquent les hauts et les bas de l’histoire juive …
Nos petites flammes n’ont brûlé que quelques minutes chaque nuit, mais au moins nous avons accompli la mitsva de diffuser le miracle de ‘Hanouka, en sentant au fond de nos cœurs que des miracles pouvaient encore nous arriver et que tout n’était pas perdu.