Cher D.ieu,
Que pourrais-je T’écrire que Tu ne saches déjà ? Comment puis-je avoir l’audace de penser que je peux Te dire quelque chose de nouveau ? Je ne peux pas. Ce que je peux faire, c’est de T’être reconnaissante pour ce dont j’ai eu la chance de faire partie.
Le mois dernier, c’était la bar mitsva de mon fils Eli ‘Haïm. Nous avons eu de nombreuses célébrations dans de nombreux endroits différents et avec beaucoup de personnes différentes.
Mon mari a toujours été la personne la plus joyeuse que je connaisseJe n’ai jamais vu autant de bonté, d’amour, de joie, d’unité et de foi que j’en ai vu la semaine dernière avec des amis, de la famille, et des étrangers qui sont désormais nos amis et notre famille.
Pour une raison que Toi seul connais, Tu as choisi mon mari (Rav Yitzi Hurwitz) et notre famille pour être un pôle de rassemblement pour les gens. Je peux comprendre une petite partie de ceci.
Mon mari a toujours été la personne la plus joyeuse que je connaisse, et cela n’a pas changé. Sa joie, sa foi et son amour de tous ont inspiré beaucoup de gens, et continueront de le faire. Nos enfants, grâce à Toi, sont remarquables. Ils sont forts, et ils ont confiance en Toi que Tu prendras soin de nous tous.
Nous ressentons une proximité avec Toi que nous n’avons jamais ressentie auparavant, et nous sommes reconnaissants que Tu nous fasses savoir à travers de petits messages que Tu nous écoutes et que Tu veilles sur nous. C’est réconfortant de savoir que Tu es avec nous.
Des milliers de personnes se sont engagées à faire des prières ou des mitsvot supplémentaires en l’honneur de mon mari. Le monde se transforme positivement. Il y a tant de bonté et de beauté tout autour. Si je peux le voir de mon petit coin, je ne peux pas imaginer comment cela doit T’apparaître, à Toi.
Le monde se transforme positivementCe pour quoi je veux vraiment Te remercier, c’est pour ce dernier dimanche. Alors que nous étions attablés à célébrer l’accession de notre fils au statut d’homme juif responsable, j’ai vu un océan de beauté : l’armée du Rabbi – ceux qui sont inspirés par ses enseignements – qui nous entourait, nous gardait et nous donnait de la force. La fraternité, l’amour, la joie, la foi et l’espoir étaient tangibles. C’était comme si je vivais un avant-goût de Machia’h.
Que nous sommes bénis pour la bonté et les miracles que Tu as versés abondamment sur nous. J’ai juste une question : qu’attends-Tu de plus que cela pour amener Machia’h ?
Ton humble serviteur,
Une chlou’ha (émissaire) du Rabbi,
Dina Hurwitz
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