Nous recherchons la spécificité. Tout le reste est jugé indigne de nos efforts et de notre attention. Mais sommes-nous vraiment comme cela ? Ou peut-être existe-t-il une dimension plus profonde de notre être qui aspire à la routine et à la régularité ?
Pourquoi ce compte à rebours qui nous mène à la fête de Chavouot? Quel est le lien entre les nombres, le compte, et le don de la Torah dont bénéficia notre peuple en cette occasion?
Une controverse historique a opposé nos Sages aux sectaires sur la signification du commandement: "Et vous compterez depuis le lendemain du Chabbat." Bien que les Sages aient démontré leur propos, pourquoi la Torah a-t-elle laissé place à une telle erreur?
L’âgisme – la discrimination fondée sur l’âge – n’a aucun sens économiquement parlant pour les entreprises. La Sefirat HaOmer est édifiante à ce sujet.
Dans le judaïsme, il y a, d’une part, un héritage conséquent d’enseignements médicaux pratiques et, d’autre part, une forte tradition d’éviter une intervention médicale et de s’en remettre à la foi…
Les fêtes de Pessa'h et Shavuot sont reliées l'une à l'autre par la période du Compte du Omer. Cela nous révèle la nature de la liberté et comment celle-ci dépend de la Torah.
Au cours du siècle dernier, nous avons connu un grand bond en avant dans le progrès technologique. Maintenant il est temps de nous remettre nous-mêmes à niveau…
Pourquoi comptons-nous de manière croissante pendant le Omer jusqu’à Chavouot au lieu de compter de manière décroissante? La période de Pessa’h à Chavouot n’est-elle pas un compte à rebours?
Et quel est le rapport avec le décompte jusqu’à Chavouot ?
par Yehuda Shurpin
Les Juifs contemporains associent le Omer à la mitsva de Sefirat Haomer, qui consiste à compter les jours entre le deuxième jour de Pessa’h et la fête de Chavouot. En réalité, le Omer est le nom d’une offrande spéciale qui était apportée le deuxième jour de Pessa’h…