Le temps de la danse
La philosophie ‘hassidique explique que ce qu’un Juif accomplit à Yom Kippour par les larmes, le repentir et le remords, il peut l’accomplir à Sim’hat Torah par la joie.
Comment est-ce possible ?
À Sim’hat Torah, nous prenons, pour ainsi dire, la « grande route », la route la plus directe pour établir la connexion avec D.ieu.
En dansant avec la Torah, en exprimant notre joie et notre bonheur d’être juifs, nous transcendons la création et entrons en relation avec D.ieu à un niveau véritablement spirituel.
Dans le repentir de Yom Kippour, nous éprouvons des remords pour nos transgressions survenues dans ce monde physique.
La danse, la célébration, la joie, en revanche, se situent à un niveau totalement différent. Nous célébrons notre amour de D.ieu, et non quelque chose lié à ce monde. Ce niveau supérieur peut accomplir plus que la repentance.
Par le mérite de notre repentance et de notre joie, puissions-nous assister rapidement au « retour » du Tout-Puissant à Jérusalem, comme nous le disons dans nos prières quotidiennes : « Puissent nos yeux voir Ton retour à Tsione dans la miséricorde. »
‘Hag saméa’h !
La Rédaction
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