Vayikra : un sacrifice utile


Pessa’h nécessite plus de préparation et de travail physique que toute autre fête juive. Pendant 10 jours, 15 jours, trois semaines, toutes les énergies sont mobilisées pour nettoyer, ranger, apprêter, choisir, acheter, cuisiner, vérifier, etc, etc.

Mais au bout du tunnel, il y a la lumière. Et parfois celle-ci perce au milieu même du tunnel. Car tout ce travail donne à cette fête son rayonnement particulier, cette qualité lumineuse qui n’appartient qu’à Pessa’h. En cette époque de gratification instantanée, Pessa’h nous rappelle d’année en année que le travail dur paie toujours.

Ce principe se trouve sans doute sa meilleure illustration dans la fabrication de la matsa. La Torah nous ordonne de garder nos matsot pour les empêcher de lever. Pour accomplir ce commandement de la meilleure façon, la matsa chemoura est fabriquée à partir de blé qui a été surveillé depuis le moment de sa récolte pour s’assurer qu’il ne devienne pas humide. Dans la fabrique de matsot, la pâte est soigneusement pétrie, roulée et cuite à la main avec l’intention expresse d’être destinée à l’usage du Séder.

Le travail, la concentration et l’amour investis dans la préparation de la matsa chemoura cuite à la main sont quelques-uns des aspects qui font sa spécificité. Contactez votre centre ‘Habad-Loubavitch dès aujourd’hui pour réserver la vôtre.