Un peuple juif en bonne santé est une grande famille bienveillante dans laquelle chacun des membres aime les autres comme lui-même ou elle-même. Et l’amour envers ceux qui sont le plus proche de chez soi entretient l’amour pour la grande famille de l’humanité...
Rien de ce que nous possédons n’est réellement à nous fondamentalement. D.ieu nous donne à nous, de sorte que nous puissions donner à d’autres. Donner est une mitsva et une responsabilité. Et en tant que telle, elle vient avec ses règles.
Lorsque D.ieu créa ce monde, Il nous donna la tâche de l’imprégner de spiritualité et de sens. Pour accomplir cela, rien n’est aussi puissant que la tsédaka...
Prêter de l’argent sans intérêt est la plus grande forme de charité, bien plus grande que de faire une aumône gratuite. Un don peut sauver une vie pour une journée, mais un prêt préserve ce sentiment d’autonomie si nécessaire pour se remettre sur pied.
Quel que soit le respect que nous témoignons à nos parents, nous ne pouvons jamais les payer en retour pour le rôle qu’ils ont joué dans notre mise au monde...
Pas d’air soucieux, pas de larmes, pas de visage sombre. Rien de tout cela ne va aider quiconque à guérir. Quand vous rendez visite à un malade, votre tâche est d’apporter un petit sourire, de l’espoir et peut-être même quelques éclats de rire.
Vous marchez dans la rue et vous trouvez un objet. Un iPod, un portefeuille, un chat perdu. C’est « qui trouve, garde » ? Ou bien devriez-vous le laisser là et passer votre chemin ?
Consoler un endeuillé est une de ces situations pénibles que nous préfèrerions éviter. Mais c’est un acte de bonté, qui n’est pas si difficile: ce qui est le plus nécessaire, c’est que vous soyez là.
Les mots ont un terrible potentiel destructeur, à même de déchirer des familles et de vieilles amitiés. Le pouvoir destructeur des paroles négatives n’est surpassé que par le pouvoir bénéfique des paroles positives...
Qu’est-ce qui est pire, l’exploitation financière ou l’agression verbale? «L’argent peut être remboursé, fait remarquer le Talmud, mais la blessure causée par les mots est irréparable...»