Le développement physique de l’embryon est parallèle à son développement spirituel. Les choix spirituels de celle qui attend un bébé ont des conséquences sur toute la vie de cet enfant...
Les Kabbalistes enseignent que lorsque les parents nomment un enfant, c’est une petite prophétie de leur part, parce que, d’une certaine manière, le destin de cet enfant est lié à la combinaison de lettres hébraïques de son prénom
Le Juif est lié par une alliance inscrite en lui bien au-delà de sa conscience, dans sa chair même. Un lien intemporel que D.ieu a établi avec son père Abraham.
Depuis la tragédie de Veau d’or, tous les garçons premiers-nés juifs doivent être rachetés lors d’une cérémonie de pidyone haben à un descendant d’Aharon, c’est-à-dire à un Cohen.
Lorsqu’ils atteignent l’âge de trois ans, l’éducation des enfants fait un bond : ils sont désormais prêts à révéler leurs ressources et à en prodiguer les bienfaits. Pour un garçon juif, cette transition est marquée par une cérémonie de coupe de cheveux.
Selon la loi biblique, un enfant n’est pas obligé d’observer les mitsvot tant qu’il n’a pas atteint l’âge adulte. Cependant, il est une mitsva d’origine rabbinique appelée ‘hinoukh, enjoignant aux parents de former leurs enfants à l’accomplissement des mitsvot et à éviter de faire les choses que la Torah interdit.
Un enfant est un enfant. Même s’il est brillant et savant, il n’en reste pas moins dépourvu de la maturité qui distingue l’adulte de l’enfant. Vers l’âge de 12 ans pour une fille et 13 ans pour un garçon, ce sens fait son apparition.
La propension naturelle de l’être humain à se marier exprime une profonde aspiration de son âme : son désir de se lier de nouveau à son autre moitié. Le corps et l’âme atteignent leur plénitude lorsqu’ils sont réunis avec leur autre moitié.
Le mariage juif est une tapisserie tissée de nombreux fils : biblique, historique, mystique et légal. Des fils qui forment une chaîne de continuité juive qui remonte à plus de 3800 ans...
Lorsqu’un enfant amène plus de lumière et de sainteté dans ce monde, l’âme du parent s’élève plus haut. La récitation du Kaddich est pour cela un instrument de lumière exceptionnel...