Le Rabbi: un phare dans l’obscurité, un guide vers la rédemption
Ce jeudi, à partir de mercredi soir, sera le 3 Tamouz, qui marquera cette année la 29ème hiloula, anniversaire du décès du Rabbi de Loubavitch, Rabbi Mena’hem Mendel Schneerson, de mémoire bénie.
C’est une journée de réflexion, de prière et de résolution renouvelée pour poursuivre son œuvre et mener à bien la mission qu’il nous a confiée. Le Rabbi était et demeure un phare dans un monde souvent sombre, un guide spirituel dont la vision continue d’inspirer d’innombrables personnes dans le monde entier.
Le Rabbi a consacré sa vie à la construction d’un monde meilleur qui aboutira à une ère de plénitude et de révélation divine universelle, l’ère de Machia’h. Et il a inculqué à ses disciples et à tous ceux qui l’ont rencontré une foi inébranlable dans le potentiel de chaque individu à transformer le monde autour de soi.
Lorsque des personnes en prise avec des problèmes personnels sollicitaient son conseil et sa bénédiction, il arrivait souvent que le Rabbi les incite à agir pour le bien d’autrui, et à accroître leur activité si elles le faisaient déjà.
Souvent, la source principale de nos difficultés tient dans le fait que nous ne sommes pas vraiment nous-mêmes, que nous passons à côté de l’existence qui correspond à notre nature profonde. Or, tout au fond de notre nature se trouve notre âme, et tout au fond de celle-ci, une étincelle du Créateur. Le Rabbi nous a enseigné à cibler directement cette dimension chez les autres, et cela permet alors à notre propre étincelle divine de jaillir aussi.
Ce faisant, nous révélons la divinité inhérente à la création tout entière et permettons au monde de redevenir lui-même, tel qu’il était à sa création.
Le 3 Tamouz est une journée propice pour étudier un enseignement du Rabbi, pour s’engager dans les campagnes des mitsvot qu’il a lancées, pour sensibiliser notre entourage à l’imminence de la venue de Machia’h et pour écrire au Rabbi une demande de bénédiction qui sera déposée au Ohel où il repose.
Puissions-nous mériter rapidement la pleine réalisation de l’annonce du Rabbi lorsqu’il prit ses fonctions en 1951 et maintes fois réitérée par la suite : « Nous sommes la dernière génération de l’exil, et serons la première génération de la Rédemption ».
La Rédaction
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