Les lettres d’un rouleau de la Torah doivent être écrites selon l’écriture dite « assyrienne ». Les différentes écritures cursives et polices de caractères hébraïques employées communément ne sont pas valables. Les lignes doivent être parfaitement droites et égales. De nombreuses lois détaillent avec précision la forme de chaque lettre et, si une seule venait à manquer ou à être, dans certains cas, fendue ou passée, le rouleau de la Torah tout entier ne serait pas cachère. Un rouleau de la Torah imprimé, quand bien même les lettres seraient parfaitement conformes, n’est pas valable.

Parce que le rouleau de la Torah incarne la sainteté du message qu’il porte, il ne peut être recouvert que de texte : toute illustration ou enluminure est proscrite.