ב"ה
Réflexions sur la prière
La prière juive est-elle intrinsèquement paradoxale?
Un Être Infini a-t-Il réellement besoin que nous Lui disions quoi faire ?
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Entrez dans la réalité
Vous avez un mur, une chaise et vous-même, des choses très concrètes qui occupent un espace réel, en HD. Et ensuite vous avez ce D.ieu infini et invisible que vous devez essayer de faire cadrer dans ce contexte. Et bien sûr, Il ne cadre pas.
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Pensez à la prière comme la façon dont D.ieu se parle à Lui-même, à travers vous.
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Puis-je croire au pouvoir de la prière alors que, de toute évidence, cela n’a pas fonctionné?
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Aucune traduction ne peut se substituer parfaitement à l’original, cependant, "une prière sans concentration n'est pas une prière"…
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La première et la deuxième partie du Chéma
Eikev contient la deuxième partie du Chéma qui présente de nombreuses similitudes, mais également de nombreuses différences, avec la première partie qui se trouve dans la lecture précédente de Vaet’hanane.
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La relation d’une personne avec son Créateur peut-elle être scénarisée? Est-il possible de dicter les sentiments que l’on doit exprimer à D.ieu?
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Ce que vous demandez est en fait: si D.ieu est partout, pourquoi la prière serait-elle plus efficace à un endroit qu’à un autre? En vérité, on peut poser la même question en ce qui concerne la prière dans une synagogue par rapport à la prière à la maison…
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