Cette merveilleuse mélodie pleine d’inspiration était un chant favori du quatrième Rabbi de ‘Habad, Rabbi Chmouel de Loubavitch, connu sous le nom de “Maharach”. Bien qu'il n’en fut pas le compositeur, il est appelé par son nom, car il le chantait souvent. On l’appelle aussi “Eïns-zveï-draï-fir” – la mélodie un-deux-trois-quatre. Un autre nom qui lui a été donné est “le Nigoun Eïn Sof” (le Chant de l'Infini).