Une vive mélodie en trois strophes, chantée avec verve et joie, entonnée lors des fêtes et des rassemblements ‘hassidiques. Selon le rabbin Its’hak Dubov de Manchester, un vieux ‘hassid a témoigné que le Rabbi Maharach (Rabbi Chmouel, le quatrième Rabbi de ‘Habad) aimait beaucoup ce nigoun et que ses disciples le chantaient souvent pour lui.