Pessa’h, la fête de la liberté, approche rapidement.
Mais comment ressentir la liberté quand on ne peut pas payer les factures ? Et si l’on sait que son voisin n’a pas les moyens de se procurer de la Matsa ou du vin ? Peut-on se sentir libre sachant que son prochain est dans une grave détresse financière ?
Depuis l’époque talmudique, il est de coutume dans toutes les communautés juives de récolter des fonds dans les semaines qui précèdent Pessa’h pour procurer aux nécessiteux – souvent de façon anonyme – de la Matsa, du vin, des habits neufs et tout ce qui est nécessaire pour passer une bonne fête. (Cette tsédaka particulière, à l’origine destinée à procurer de la Matsa aux pauvres, est appelée maot ‘hitim, « le fond du blé ».)
Ne restez pas à l’écart de ce cercle de charité millénaire ! Trouvez un fonds de charité près de chez vous et contribuez généreusement à aider nos frères dans le besoin pour Pessa’h. Si vous ne connaissez pas une telle organisation, contactez votre rabbin. Il sera heureux de vous indiquez une caisse de charité ou de transmettre directement votre don à des familles dans le besoin qui l’emploieront pour célébrer Pessa’h.
Puisse votre geste charitable vous valoir la réciproque de la part de D.ieu, qui vous bénira, vous et ceux qui vous sont chers, pour passer une fête de Pessa’h joyeuse, cachère, et libératrice.
PS : Faites un tour sur notre méga site de Pessa’h où vous trouverez des informations sur la fête, y compris un guide détaillé, et beaucoup d’inspiration. Vous pouvez également y vendre votre ‘hamets en ligne. Faites-le dès aujourd’hui !