Lors d’une visite à Kfar Habad, le célèbre sculpteur Jacques Lipchitz révéla que s’il était vivant à l’époque, c’était grâce à une bénédiction du Rabbi reçue treize ans auparavant. Il révéla également que le Rabbi lui avait acheté une paire de Téfiline pour qu’il la porte chaque jour. « Un artiste a besoin d’inspiration, déclara Jacques Lifschitz. Il doit attendre qu’une certaine chose descende – j’appelle cela “l’esprit saint”. Pour moi, mettre les Téfiline me donne mon inspiration pour la journée ! »