C'est l'interdiction qui a été faite au calomniateur de répudier sa femme, ainsi énoncée dans la Torah : "...il ne pourra la renvoyer de sa vie". Cet interdit est également précédé d'un commandement positif, formulé en ces termes : "...de plus, elle restera sa femme". Par conséquent, la règle concernant la bastonnade est la même, s'il la répudie, que pour le violeur, comme c'est expliqué à la fin de Makkoth.
C'est à cet endroit, ainsi qu'aux chapitres 3 et 4 de Ketouboth que sont exposées les dispositions relatives à ce commandement.
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