Est-il vraiment nécessaire, après plus de 3000 ans, de continuer à commémorer la libération de nos ancêtres de l’esclavage en Égypte? Ne pouvons-nous pas passer à des questions plus pressantes et plus contemporaines?
«Toi, Moïse, tu dis que D.ieu a "vu la souffrance de Son peuple en Egypte" et c’est la raison pour laquelle Il t’envoie nous sauver. Mais où était-Il jusqu’à aujourd’hui?...»
Un employeur nous menace de renvoi si nous refusons de travailler le Chabbat. Une grande entreprise refuse de nous engager si nous ne participons aux repas professionnels non cachères. Pouvons-nous, à notre tour, faire face à ces défis et vivre courageusement en accord avec nos principes et nos valeurs ?
Pourquoi de mauvaises choses arrivent à de bonnes personnes ? Pourquoi tellement d’injustice dans ce monde ? Et, je vous en prie, ne me dites pas que « les voies de D.ieu sont impénétrables ». J’en ai assez d’entendre cela. Je veux une explication.
Adapté des enseignements du Rabbi de Loubavitch par Yanki Tauber
L’expression «labeur écrasant» apparaît fréquemment dans le récit que rend la Torah de l'exil et de l'asservissement en Egypte, dans le texte de la Haggada et dans la symbolique des rites du Séder. Qu’est-ce qu’un «labeur écrasant»?
Moïse et Aharon se tiennent devant l'homme le plus puissant de son époque, Pharaon, et exigent qu'il libère ses esclaves les plus productifs et les plus haïs. Se tenant dans la cour du Pharaon, ils sont intensément et ostensiblement juifs dans leur habillement et leurs coutumes. Avec hardiesse et fierté, ils exigent les droits de leur peuple et il ont gain de cause.
L'épisode dans lequel la mère de Moïse l'envoie sur le Nil dans une corbeille en osier et où il va être recueilli par la fille du Pharaon est archi connu. Mais en connaissez-vous la signification profonde?
Vous ressentez la douleur et l’amertume, plus profondément que les autres, cependant vous portez en votre cœur une inextinguible flamme de foi, d’espoir et d’optimisme. Vous êtes Myriam, l’essence de la femme juive
J’ai une histoire à vous raconter. Voyez-vous, mon père m’a acheté un chevreau, pour deux sous. Un tendre petit chevreau, la plus douce des créatures. Tout allait bien, jusqu'à ce que vienne un chat...