C'est l'interdiction qui nous est faite de refuser charité et soutien aux pauvres, parmi nos frères, après avoir eu connaissance de leur situation précaire et de notre possibilité de leur venir en aide. En voici la source toraïque : "...tu n'endurciras point ton cœur, ni ne fermeras ta main à ton frère nécessiteux". Il nous est par là défendu de nous comporter avec mesquinerie et avarice au point de refuser son dû à cette personne [en détresse].