Chabbat | 13 Adar Cheni, Parachat Zakhor | 5703 |
Haftara : Ko amar Hachem. On dit Av hara’hamim (p. 191). On ne dit pas Tsidkatekha (p. 209). | ||
Études de Torah : | ‘Houmach : Vayikra, Chevii avec Rachi. | |
Tehilim : 69-71. | ||
Tanya : Ainsi, aussi, l’argent (p. 167)... ou la Prière. (p. 169). |
« Amalek vint et combattit Israël à Refidim. »1 « Refidim » implique une « faiblesse des mains », c’est-à-dire la négligence d’Israël envers la Torah.
Lorsque les Juifs s’affaiblissent dans l’étude de la Torah – laquelle est destinée à être mise en pratique –, alors Amalek survient et refroidit l’ardeur du Juif. « Amalek combattit Israël. » Le mot « Israël » est un acronyme de la phrase hébraïque signifiant « il y a 600 000 lettres dans la Torah » (Chaque Juif a une lettre dans la Torah, et c’est la raison de la coutume juive universelle selon laquelle chaque personne écrit une lettre dans un Sefer Torah.2) Amalek refroidit cette sainteté de la Torah.
Le remède à cela est l’ordre de Moché à Yéhochoua : « Choisis pour nous des hommes »3 – Des hommes de Moché. Et « dans chaque génération, il y a une extension de Moché »4, car dans chaque génération existent les « chefs des milliers d’Israël ».
« Et va combattre Amalek. » Notez que les verbes sont à la forme singulière (s’adressant à chaque individu), car la Torah est éternelle et s’applique de manière égale à chaque génération, en tout temps et en tout lieu.5
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