C'est l'interdiction faite au salarié même à vie d'un pontife de consommer la Teroumah. Elle est tirée du verset suivant : "Celui qui habite chez un pontife ou est salarié par lui, ne mangera point d'une chose sainte". S'il en a mangé, il est considéré de la même manière que les autres profanes [lorsqu'ils agissent ainsi].