Il est interdit à la personne induite en erreur d'aimer le séducteur et de consentir à ses paroles, même si il n'agit pas en conséquence, comme il est dit : "Toi, n'y accède pas". Le Sifri dit à ce sujet : "De la règle générale : Tu aimeras ton prochain comme toi-même, on pourrait conclure qu'il faut aimer [même le séducteur]. C'est pourquoi la Torah précise : Tu n'y accéderas pas".