Maïmonide souligne, dans son Michné Torah (Hil’hot Mela’him, chap. 11), la nécessité de «  croire en Machia’h et d’attendre sa venue  ». Apparaissent donc ici deux obligations parallèles. Elles sont certes complémentaires mais elles ne peuvent pas se confondre. En fait, leur juxtaposition a une raison d’être : elle nous enseigne que, de même que l’obligation de croire en Machia’h est constante, ainsi celle d’attendre sa venue imminente est d’application continue.

(d’après Likoutei Si’hot, vol. XXVIII, p. 131)