Chaque acte qu’un Juif fait, chaque jour où il se trouve encore en exil, éclaire une partie supplémentaire du monde matériel. De cette manière, nous parvenons peu à peu à l’absolue perfection du temps de Machia’h.

Puisqu’il en est ainsi, il nous faut considérer chaque instant que nous sommes contraints de vivre encore en exil non comme un moment de pur exil mais comme un temps de préparation et d’introduction à la Délivrance.

(D’après un commentaire du Rabbi de Loubavitch – 10 Chevat 5714)