ב"ה

Nos chroniqueurs sur la Paracha

La perception et le pouvoir
Pourquoi les plaies d'Egypte?
Au-delà des droits de l’individu, le pouvoir de l’individu constitue, dans la pensée d’aujourd’hui, un idéal incontournable. D’une certaine manière, chacun peut changer le monde.
La liberté en cinq dimensions
Rabbi Eliézer affirme que chaque plaie consista en fait en quatre plaies. D’après Rabbi Akiva, ce n’était pas quatre, mais cinq. Assis à la table du Séder, lisant dans la Haggadah maculée de vin, nous nous hâtons vers la consommation de la Matsa, des herbes amères et du repas. Mais que nous enseignent ces deux Sages aujourd’hui ?
Les Égyptiens ont-ils eu le choix?
Tout n'était-il pas dicté à l'avance?
Si nos geôliers ne furent que les pions d’un plan cosmique, comment pouvons-nous exiger et célébrer leur châtiment?
Pourquoi D.ieu a-t-Il fait bégayer Moïse?
Lorsque D.ieu ordonna à Moïse de descendre en Égypte pour libérer les Israélites, celui-ci objecta qu'il était «pesant de bouche et pesant de langue». Mais pourquoi D.ieu l'a-t-il fait bègue, s'Il devait en faire Son porte-parole?
Les victimes sont-elle vouées à devenir des agresseurs?
Peut-on se libérer du mal que d’autres ont fait, et se résoudre à agir avec générosité et compréhension envers les autres?
La main puissante
Les Égyptiens étaient-ils trop puissants pour que D.ieu s'en approche?
Frapper le fleuve
Notre source de subsistance n’est ni régulière ni prévisible. Elle ne s’élève pas d’un canal creusé dans la terre, et elle n’est pas non plus tirée d’un trou dans le sol. Nos yeux sont toujours dressés vers le haut, dans l’espérance et l’attente, et dans la foi…
La véritable raison des dix plaies
Le but ultime était que les Israélites qui partaient apprennent un message éternel qui résonnerait pendant des générations.
Pourquoi les plaies?
Il aurait pu juste les désintégrer, et pourtant Il leur envoie... des grenouilles?!
Notre Exode à nous
Pourquoi le changement est-il si difficile? Parce que, souvent, nous ne voulons pas vraiment changer. Les textes juifs anciens décrivent ce problème comme le “Syndrome de Pharaon”.