ב"ה

Balak

Le 3 Tamouz
Le Rabbi
Le Rabbi de Loubavitch - Sa vie, sa vision, son enseignement
Le 3 Tamouz 1994: Transmission
Les derniers messages du Rabbi et la tâche qu'il nous a impartie
Coutumes liées au jour du 3 Tamouz
Le Rabbi avait fixé un certain nombre de coutumes à respecter à l’occasion de la Hiloula du Rabbi précédent. Ce sont ces mêmes coutumes qui ont été reprises pour le 3 Tamouz.
Perspective
Du soleil, des enfants et des fruits

Le mois de juillet est celui d’un grand rendez-vous : les centres aérés Gan Israël commencent. Dire que de telles institutions sont essentielles, dire qu’elles apportent à l’enfant plus qu’on ne saurait l’imaginer et que, bien souvent, ceux qui les fréquentent aujourd’hui sont les enfants de ceux qui y participèrent hier, tout cela est vrai mais ne suffit pas à rendre compte de la beauté du moment.
Articles et essais
Pour de vrai

Pourquoi la foi en Machia’h et la Rédemption est-elle tellement centrale dans le Judaïsme ? Qu’est-ce qui en fait l’un des « treize principes » de la foi juive qui soutient l’édifice tout entier ?
Récit
«L’Amérique n’est pas différente!»

«Qui était-il pour se permettre de donner des bénédictions et de dire aux gens comment agir? Nous allions montrer à cet homme, tout droit sorti du Moyen Age, ce qu’était l’Amérique!...»
Paracha
Balak - en bref
Un roi effrayé et un prophète avide, un ange portant épée et un âne parlant, des malédictions qui deviennent des bénédictions et une prophétie messianique, une épidémie provoquée par une débauche païenne et un zélote qui sauve la situation...
L’évolution du plaisir

Quelle attirance l'idole Péor et les rituels particulièrement répugnants qui lui étaient associés pouvait-elle exercer envers les Israélites qui succombèrent à son influence?
Nos tentes divines

Nous connaissons tous l'histoire des malédictions de Bilaam qui se transformèrent en bénédictions. Mais, d'après le Talmud, la plupart d'entre elles redevinrent des malédictions...
Deux oiseaux du paradis

Peut-être était-ce le chatoiement des ailes noires qui scintillaient à la lumière du soleil. Peut-être était-ce le mystère de ce noir absolu ou le contraste face à la luminosité du soleil. Mais tout ce qui peut être dit est qu’il s’agissait d’une beauté intangible, pas de quelque chose qui peut être peint, décrit ou connu, de quelque manière. C’était une beauté aussi indéfinissable que le noir est sombre.