Chers amis,

Depuis l’époque où Moïse conduisit les Juifs à travers la mer Rouge et le vaste désert du Sinaï pour une aventure épique de 40 ans, nous avons passé des milliers d’années à errer.

Et voilà que, avec l’été qui se profile, nous approchons de la saison annuelle des « errances » (D.ieu merci, volontaire cette fois-ci). Les autoroutes, les chemins de fer et les voies aériennes nous amèneront vers des littoraux ensoleillés ou vers de montagnes majestueuses, vers des destinations exotiques ou familières. Peut-être certains parmi vous iront poursuivre leurs « errances » dans les rues charmantes de Venise, de Florence ou de Londres. Peut-être choisirez-vous une destination isolée en quête de repos et de sérénité.

Mais comment « erre »-t-on comme un Juif ?

Notre paracha nous dit : « À la parole de D.ieu, les enfants d’Israël partaient, et à la parole de D.ieu, ils campaient. » (Nombres 9,18) Nous pouvons puiser quelque inspiration du nomadisme de nos ancêtres dans le désert : débutons et terminons nos journées de voyage avec la parole de D.ieu, c’est-à-dire avec la prière et l’étude de la Torah. Et en planifiant votre voyage, n’hésitez pas à consulter notre annuaire mondial de centres ‘Habad pour inclure une rafraichissante halte spirituelle, un Chabbat ou plus encore.

Qui sait ? Comme à l’époque, notre « errance » pourrait bien se terminer en Terre Promise !