Lorsque la lecture de la Torah est achevée, des prières sont dites pour les personnes souffrantes (mi chébérakh). Les fidèles disent au bedeau (Gabbaï) le nom de la personne malade ainsi que celui de sa mère, de préférence leur nom hébraïque, par exemple : Rivka bat Sarah.

Une remarque intéressante : les prières pour les malades mentionnent le nom de la mère de la personne malade et la prière pour quelqu’un qui a reçu une aliyah mentionne le nom de son père. D’après la loi juive, le nom du père est analogue à un nom de famille, employé uniquement à fin d’identification. Une mère, en revanche, est associée aux notions de vie et d’âme.