Translittération:
Ki Hinei Ka'homer Beyad Hayotseir, Birtsoso Mar'hiv Uvirtsoso Mekatser, Kein Ana'hnou Beyodkho 'hessed Notseir, Labris Habet Veal Teifèn Layeitser.
Ki Hinei Koevène Beyad Hamessates, Birtsoso O'hez Uvirtsosso Me'hates, Kein Ana'hnou Beyodkho Me'hayeh Umemosseis, Labris Habet Veal Teifèn Layeitser.
Traduction:
Car tel l'argile dans les mains du potier, qui lorsqu'il le veut l'étale et lorsqu'il le veut le ramasse, ainsi sommes-nous en Ta main, Toi qui remémores les actes de bienfaisance; considère l'alliance et ignore notre mauvais penchant.
Car telle la pierre dans la main du tailleur, qui lorsqu'il le veut la saisit et lorsqu'il le veut la martèle, ainsi sommes-nous en Ta main, Toi qui fais vivre et mets à mort; considère l'alliance et ignore notre mauvais penchant.
Poème récité lors de l'office du soir de Yom Kippour |
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Un air en trois mouvements possédant un charme musical original. Il est habituellement chanté sans paroles, mais le 'hassid Reb Aharon 'Haritonov, abatteur rituel à Nikolayev, qui était l'un des plus célèbres compositeurs de mélodies 'Habad, chantait sur cet air les mots de ce poème récité lors de l'office du soir de Yom Kippour.
Reb Aaron Charitonov
Cantor Zalman Bronstein
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