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Récits de Soukkot

Un Étrog du Jardin d’Éden
La récompense d’un coeur pur
L’ange Michael attela le cheval à la voiture chargée de mitsvot et le cocher claqua son fouet. La voiture se mit soudain en marche, écrasant les tas de péchés qui avaient obstrué sa route…
Le toit de la Soukkah
La puissance d'une frêle Soukkah
Telle est la véritable saga de Souccot en Russie : jamais le communisme le plus virulent n’a réussi à complètement détruire la frêle Souccah et l’étincelle de judaïsme qui anime chaque Juif...
Soukkot en Alaska
La chaleur de la fête dans le froid du Grand Nord
Comment manger dans votre Soukkah quand le froid gèle votre ‘Halla en quelques minutes ? - Un témoignage qui réchauffe…
Grâce à une Mitsva
Quand le Loulav rapproche
Yossi était prêt à marcher des heures pour permettre à d'autres Juifs d'accomplir la Mistva du Loulav. Il était loin de se douter que sa persévérance permettrait un dénouement qui attendait depuis trente ans...
Une si petite Souccah
Mais rien ne l'abattra...
Sous le régime soviétique, la fête de Souccot n’était pas simple à respecter : comment construire une cabane à ciel ouvert, au plafond recouvert de branchages, sans éveiller les soupçons du KGB ?
Des branches de saule à 1800 dollars!
Leçon d'humilité
Bangkok, veille de Souccot. Un loulav, un étrog, des hadassim... mais pas de Aravot. Si, en fait, il y en a. Elles sont à Hong-Kong...
L’arme secrète
Souccot pendant la Guerre de Corée
Guerre de Corée, un jeune soldat américain reçoit un loulav et un étrog... et finalement la médaille militaire
L’épreuve
Une histoire du Baal Chem Tov
Depuis qu’Abraham avait reçu l’ordre de D.ieu de sacrifier son fils, aucun Juif n’avait subi une telle épreuve...
Retrouvailles aux Buttes-Chaumont
Une histoire des "mivtsaïm"
Le Rabbi de Loubavitch a demandé à tous de partager les mitsvot de la fête avec un maximum de Juifs. Ce sont les "mivtsaïm", lors desquels des événements bouleversants se déroulent souvent, comme celui-ci...
Le prix d’un étrog
Jusqu'où peut-on s'engager?
Dans une petite bourgade d’Europe vivait une fois un rabbin. C’était un homme saint, attentif à observer les mitsvot du mieux qu’il pouvait, sans en négliger le moindre détail. S’il les observait toutes avec un égal scrupule, il avait cependant une prédilection toute particulière pour celle des «Quatre Espèces»...
Le tsadik impopulaire
Rabbi Pin’has leva les yeux et vit le patriarche Abraham – le premier des Oushpizine et donc l’invité d’honneur de la première nuit de la fête – debout devant la porte de la soukkah, gardant ses distances...
L’étrog disparu
Sur l’échelle cosmique des mitsvot, il n’y a vraiment aucune différence si je fais une bénédiction sur mon loulav, ou si ce même loulav est utilisé par un Juif quelque part dans la rue. Mitsva = mitsva, non?
L’étrog brisé
Dans la ville de Berditchev, où vivaient des dizaines de milliers de juifs, il n’y avait qu’un seul étrog…
Arpentant les rues avec mon équipement de Soukkot
Ma peur initiale de proposer la mitsva des Quatre Espèces aux autres
À l’approche de la vingtaine, j’étais déterminée à vaincre ma timidité et à avoir la ‘houtspah d’approcher les gens pour leur demander s’ils aimeraient dire une bénédiction sur les Quatre Espèces, qui selon les sages apportent l’unité au peuple juif.
Soukkot par-delà les générations
Soudain, on frappa à la porte. Yankel, un rabbin de la ville de Zhuravitz, avait voyagé 1 200 kilomètres pour apporter une joie qui lui faisait cruellement défaut en cette période de fête.
La soukka en aluminium
“Je n’ai pas pu contenir mes émotions. Je me suis mis à pleurer... J’avais seulement voulu rendre la soukka plus belle!”
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