Le général Bonaparte était en butte aux contrariétés de toutes sortes. Les nouvelles qui lui parvenaient de France n’étaient pas faites pour le réjouir. Elles lui annonçaient les désordres et les rumeurs de complots qui se tramaient contre lui...
Ce fut enfin le jour de la noce. Des centaines de mendiants prirent place autour des tables chargées de la nourriture la plus savoureuse que l’on puisse trouver. C’est alors qu’un drame survint...
Le saint Rabbi Elimélekh de Lizensk enseignait à ses ‘hassidim quand, tout à coup, la porte de la salle s’ouvrit avec fracas et deux pauvres hères parurent...
Extraits des écrits et des discours de Rabbi Yossef Its'hak de Loubavitch
À la fin du voyage, le docteur demanda au Rabbi de le pardonner pour avoir été la cause de sa maladie. «Vous, la cause de ma maladie?» demanda le Rabbi stupéfait.
Reb Azriel David ouvrit les yeux et vit le train qui chantait. D’une voix étranglée, il s’écria: «Je donnerai la moitié de ma part du Olam Habba (le Monde Futur) à quiconque amènera mon chant au Rabbi de Modzitz!»
La voiture ne s’était pas encore immobilisée tout à fait quand les voyageurs virent apparaître soudain un homme qui jaillit de la maison, se précipitait sur eux en leur criant de «décamper». Tout le monde, excepté le Rabbi, était frappé de stupeur...
Le Baal Chem Tov se détacha du cortège nuptial, s’approcha de l’étranger et lui murmura quelque chose à l’oreille. Sur ce, cet homme prit la direction de l'auberge du bourg. Les disciples du Baal Chem tov étaient stupéfaits. Qui était cet homme? Que lui avait dit le Baal Chem tov?
En yiddish, « Une pincée de tabac » une pincée de tabac est une expression signifiant « trois fois rien ». C'est le sujet de notre récit, avec des conséquences dramatiques...
« Attention ! » cria la pauvre femme. Trop tard ! L’assiette se renversa et son contenu alla grossir la petite mare qui s’était formée sur la table. De la part de la rebbetsin, ce ne fut plus de la colère, mais de la rage !
De mémoire d’homme, on n'avait jamais vu le négociant en liqueur, Reb Chmouel Brun chez le Rabbi Maharach un jour de semaine, au beau milieu de l’année !
Elle frotta et polit les pièces jusqu’à ce qu’elles resplendissent et, une prière au cœur afin que leur étoile ne tardât pas, elle aussi, à briller, elle les enveloppa et les remit à Gavriel pour qu'il les portât au Rabbi
Les gens disaient bien que le généreux Reb Abraham n'était plus ce qu'il était autrefois. C'est que la richesse lui avait tourné la tête et durci le cœur. C'était d'autant plus dommage qu'il était autrefois si généreux, si aimable, si hospitalier...
Jacob aimait plus que tout la Torah. Mais hélas, ses facultés ne lui permettaient pas de comprendre et de retenir le moindre enseignement. Mais sa femme était là...
En entendant la réponse du Baal Chem Tov, Reb David fut bien déçu. Il s'était attendu à ce que le Rabbi lui indiqe comment vraiment trouver l'argent dont il avait tant besoin...
Le Baal Chem Tov se mit à répéter inlassablement le verset de la prière « Il ne Se complaît point dans la force du cheval ». Le jeune ‘hassid Élie Sokolover en fut surpris, et cessa de prier avec son maître...
Hillel l'aubergiste était tombé malgré lui dans un piège. Il sollicita la bénédiction du Rabbi Tsema'h Tsédek pour s'en sortir, et c'est là qu'il fut surpris...
Le jeune forgeron était devenu riche et prospère, mais son bonheur matériel ne palliait pas la peine provoquée par son ignorance qui lui faisait régulièrement verser des larmes...
L’ange Michael attela le cheval à la voiture chargée de mitsvot et le cocher claqua son fouet. La voiture se mit soudain en marche, écrasant les tas de péchés qui avaient obstrué sa route…
Moché l'aubergiste ne pouvait plus payer le loyer de l'auberge. Après l'avoir fait rosser, le comte polonais lui signifia qu'il allait payer ou bien... C'est alors que l'épouse de Moché eut une idée...
Le fait qu’un être humain puisse être appelé à statuer selon les lois de la Torah est en soi un paradoxe : comment l’esprit humain, limité et faillible, peut-il déterminer la volonté de D.ieu ?
Au 19ème siècle, les Juifs étaient très maltraités dans l'armée russe et constamment pressés de se convertir au Christianisme. Le ‘hassid supplia le Rabbi Tséma'h Tsedek pour qu'il donne sa bénédiction afin que son fils soit exempté...
Reb Zalman Zesmer fut intrigué de l'étrange instruction. Mais les paroles du Rabbi étaient des ordres qu'aucun disciple n'eût songé à discuter. Qu'on les comprît ou non, on obéissait
Moché-Chlomo et sa femme menaient une vie simple, et en étaient satisfaits. Leur bonheur eût toutefois été parfait s'ils avaient eu des enfants. Mais c'était là une bénédiction que D.ieu ne leur accordait point. Il y avait quinze ans qu'ils étaient mariés, et ils étaient toujours seuls...
Rabbi Meïr Refaels n'était pas un ‘hassid. Au contraire, il était le chef de l'opposition au mouvement 'hassidique. Mais à la surprise des deux hommes, il dit que ce ne serait pas une mauvaise idée d'aller consulter l'Admour Hazakène...
Les années passèrent, la fille de Yaakov atteignit l’âge du mariage. Il fallait lui trouver un bon mari. Yaakov décida de demander conseil au Baal Chem Tov qui répondit : « Envoyez-moi vos fils et je les ferai rentrer chez vous avec le mari qui convient à votre fille... »
L’Admour Hazakène fut profondément touché du malheur de cette femme qui se tenait debout devant lui aux côtés d’un père qui, lui aussi, avait le cœur brisé. Il appuya son front sur sa main et demeura un long moment absorbé par ses pensées...
Les représentants de la communauté de Vitebsk interpellèrent, un jour, Rabbi
Chnéour Zalman de Lyadi et lui demandèrent: «Rabbi, pouvez-vous nous dire quand viendra enfin le Machia’h?»
Les agents du NKVD dirent au jeune 'hassid de sortir de la pièce pour qu'ils puissent délibérer sur son cas. Jouant le simplet, celui-ci se dirigea tout droit vers la sortie du bâtiment...
Le garde de service était stupéfait: même parmi les ministres, peu possédaient un tel privilège, et devant lui se tenait un jeune ‘hassid, avec barbe, péot, costume ‘hassidique et accent yiddish, à un moment où le fait même de résider à Pétersbourg était interdit aux Juifs...
Le Baal Chem Tov se tint quelques instants en silence parmi les paysans ivres, tenant par la main le petit garçon, puis, brusquement, il s’écria: «Un peu de silence, ici!»