Cette histoire nous brise le cœur et en même temps nous remplit d’espoir.
C’est l’histoire d’Ariel Zohar, un garçon de 12 ans qui a perdu toute sa famille dans le massacre.
Ce jour-là, il était allé faire son jogging matinal habituel et, pendant qu’il était dehors, des terroristes du Hamas ont fait irruption dans sa maison et ont tué son père, Yaniv, sa mère, Yasmin, et ses deux sœurs, Te’helet et Keshet. Ariel est le seul survivant.
Son kibboutz, Nahal Oz, était toujours sous les tirs de mortier lorsque des volontaires héroïques de ZAKA ont proposé de se rendre une dernière fois au domicile de la famille. Ils ont demandé à Ariel quel objet il souhaitait qu’ils ramènent.
« Ramenez les téfiline de mon père », fut sa réponse.
Ariel était à deux semaines de fêter ses 13 ans et de devenir bar-mitsva. Il avait une paire de téfiline toute neuve, mais il demanda ceux de son père. Son cher père, qui était si ému à l’idée de le voir mettre les téfiline pour la première fois, ne serait pas avec lui pour sa bar-mitsva.
Les téfiline qu’Ariel a demandés étaient un cadeau de son grand-père, qui avait survécu aux atrocités de la Shoah et avait reconstruit sa famille en Terre sainte.
Ariel a tout perdu, mais pas sa foi.
Son grand-père, qui est toujours en vie, lui a dit : « J’ai perdu mes parents à l’âge de 14 ans. Tu as perdu tes parents à l’âge de 12 ans. J’ai survécu, et tu survivras aussi ! »
Ariel, nous ne savons pas si tu verras cela un jour. Mais si c’est le cas, nous pensons pouvoir te dire au nom des 16 millions de Juifs du monde entier :
Nous t’aimons tous énormément.
Nous portons tous le deuil et pleurons tous avec toi.
Nous célébrons tous avec toi.
Et nous serons tous présents pour toi.
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