La grande pitié que l’on éprouve pour le peuple juif, du fait qu’il est toujours en exil, est bien supérieure à toute pitié que l’on puisse concevoir. C’est pourquoi nous demandons à D.ieu : « Dans Ta grande miséricorde, aie pitié de nous ».

Du point de vue de « Ta grande miséricorde », du point de vue de D.ieu qui sait la vraie dimension de la pitié, il n’existe pas la moindre explication de la longueur de l’exil !

(D’après un commentaire du Rabbi de Loubavitch – Chabbat Parchat Vayigach 5746)