Note de l’éditeur : Cet essai en 11 parties, « Le divin et l’humain dans la Torah », est extrait d’une œuvre plus vaste intitulée « La philosophie de la Torah du Rabbi de Loubavitch » en cours d’élaboration par Yanki Tauber.
Le sens du principe selon lequel "la Torah n'est pas dans les cieux". Le rôle de l'intellect et de la raison humaine dans l'étude, l'interprétation et l'application de la Torah. La différence entre un prophète et un sage.
Puisque les controverses qui surgissent entre les sages de la Torah sont le produit des limites et des déficiences de l’esprit humain, pourquoi est-il dit que “Toute controverse qui a vocation d’honorer les Cieux connaîtra un aboutissement perdurable ”? Quel est le sens de l’affirmation selon laquelle “celles-ci et celles-là sont toutes deux les paroles du D.ieu vivant”?
Pourquoi la Torah est-elle appelée “la Torah de Moïse”? N’est-elle pas la Torah de D.ieu? Les implications spirituelles et légales de “l’appropriation” de la Torah par l’érudit qui l’étudie. Les trois dimensions de notre appropriation de la Torah: “l’héritage”, “l’acquisition” et le “don”.
Commencez une discussion