Dans le cas où nous étions destinés à être l’objet de cruels décrets, puissent ceux-ci être transférés sur ce poulet par le mérite de la mitsva de charité...
À Yom Kippour, D.ieu dans Sa clémence efface tous les péchés que nous avons commis « devant D.ieu » – mais pas les péchés que nous pouvons avoir commis envers notre prochain...
Tout comme le converti s’immerge dans un mikvé et devient ainsi une « nouvelle personne », de même, notre intention est de faire téchouva (repentir) et de devenir de nouvelles personnes.
Il est de coutume de demander et de recevoir du « leka’h » (un gâteau au miel, symbolisant une douce année) de quelqu’un (en général un maître ou un parent) le jour qui précède Yom Kippour.
Quand le Rabbi pénétrait dans la synagogue pour la prière de min’ha de ce jour, il portait dans ses mains un sac de pièces. Les tables étaient recouvertes de centaines de boites et assiettes de charité…
Avant le coucher du soleil, nous prenons le dernier repas, appelé séouda hamafseket, le « repas de séparation », qui sépare les jours de la semaine du jour le plus saint de l’année.