Il nous est également défendu de molester un prosélyte (“Guèr”) et de lui causer du tort lors d'un achat ou d'une vente, ainsi qu'il est dit : "...ni ne le molesteras". La Mekhilta s'exprime ainsi : "...ni ne le molesteras : en matière d'argent".
Il est expliqué dans la Guemara de Baba Metsia que celui qui blesse un étranger [par des paroles blessantes] viole : "Ne vous lésez point l'un l'autre" et "Tu ne contristeras point l'étranger", tandis que celui qui le moleste [en matière d'argent] transgresse : "...ni le molesteras" en plus de l'interdit général qui lui est applicable comme à tout juif, à savoir la défense de léser en matière d'argent.