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Le début du déclin, à D.ieu ne plaise, est le manque de avoda dans la prière. Tout devient sec et froid. Même une mitsva accomplie par habitude* devient une corvée. On se presse. On perd le plaisir d’étudier la Torah. L’atmosphère elle-même s’épaissit. Et bien évidemment, on devient incapable d’influencer son prochain.