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Après que mon père (le Rabbi Rachab) se soit coupé les ongles, il les mélangeait à des brindilles avant de les brûler.
Mon grand-père (le Rabbi Maharach) dit au ‘Hassid Rabbi Elyahou Abeler, un homme simple du point de vue de ses aptitudes et de ses connaissances, lors d’une yé’hidout qu’il lui accordait :
“Elyahou, je t’envie. Tu participes à de nombreuses foires. Tu vois beaucoup de gens. Et, lorsqu’au milieu d’une transaction commerciale, tu évoques avec chaleur une sentence juive, un passage du Eïn Yaakov, lorsque tu soulignes à ton interlocuteur l’importance d’étudier le niglé (Talmud, halakha, etc) et la ‘Hassidout, tu causes, par une telle manière d’agir, un plaisir en haut. D.ieu rétribue alors ce "courtage" en accordant enfants, santé et prospérité matérielle. Plus la foire est grande, plus il y a du travail et plus les recettes sont importantes.”