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On ne dit pas Tsidkatekha (Sidour p.209).
Dans le Chema Israël que certains récitent le matin avant la prière afin de s’acquitter de la mitsva de le dire en son temps, on répète les trois mots ani Heshem Elokeikhem et l’on conclut par le mot emet (Sidour p.48). Dans le Chema que l’on dit avec les Tefilin de Rabbenou Tam ou de Chimoucha Rabba, ces trois mots ne sont pas répétés, mais on termine par emet.
À Lag Baomer, aux alentours de 5604 (1844), le Tséma’h Tsédek rapporta cet enseignement du Baal Chem Tov :
Il est écrit "Afin que vous (Israël) soyez une terre de convoitise, dit l’Eternel, D.ieu des Armées".1 Tout comme les plus grands savants ne découvriront les limites des immenses ressources que D.ieu a placées dans la terre (car "tout vient de la terre")2, personne ne découvrira jamais la limite des immenses trésors que recèle Israël, la "terre de convoitise" de D.ieu.
Le Baal Chem Tov conclut : Je veux faire qu’Israël donne la récolte que la "terre de convoitise" de D.ieu est capable de donner.3