Chabbat | 29 Adar I, Parachat Chekalim | 5703 |
Haftara : Vayikhrot Yéhoïada... Ajouter les premiers et derniers versets de la haftara de Ma’har ‘Hodech. On bénit Roch ‘Hodech Adar II ; on dit tout le Tehilim tôt le matin. Jour de farbrenguen. | ||
Études de Torah : | ‘Houmach : Vayakhel, Chevii avec Rachi. | |
Tehilim : 140-144. | ||
Tanya : Chap. 33. Cela aussi (p. 147)... de cette foi. (p. 153). |
En répondant au le’haïm, il existe deux versions :
a) Le’haïm tovim oulechalom – « pour une bonne vie et pour la paix ». La raison de cette bénédiction est que la première fois que le vin est mentionné dans la Torah, cela a entraîné des conséquences indésirables : « Noa’h commença... »1. De plus, l’Arbre de la Connaissance était une vigne2. C’est pourquoi nous formulons la bénédiction pour que ce vin soit une « pour une bonne vie ».
b) Le Maguid de Mézéritch avait l’habitude de répondre : le’haïm vélivrakhah. Une fois, lors d’un farbrenguen, l’Admour Hazakène répondit : le’haïm vélivrakhah. Après le farbrenguen, les ‘hassidim discutèrent de cette expression qu’ils entendaient pour la première fois. Un ‘hassid proposa l’explication suivante : Étant donné que « lorsque le vin entre, le secret sort »3, ce qui dans la avoda signifie que les émotions se révèlent, il faut une berakha pour cela : l’expression le’haïm vélivrakhah peut se lire lev rakha, « un cœur sensible ».
Le Tséma’h Tsédek commenta : Une telle interprétation ne peut être formulée que par un ‘hassid qui a prié et s’est investi dans la avoda pendant trente ans.