Chabbat | 17 Chevat | 5703 |
On se tient debout pendant la lecture du Cantique de la Mer. Haftara: OuDevorah icha nevya | ||
Torah lessons: | ‘Houmach: Chevii de Bechala'h avec Rachi. | |
Tehilim: 83-87. | ||
Tanya: פרק כב. רק - תמיד. |
Il est de coutume de manger du sarrasin pendant ce Chabbat.
Lors du Chabbat Bechala’h 5621 (1861), le Tséma’h Tsédek prononça le maamar « Reou ki Hachem », imprimé dans Likoutei Torah. Peu après, il dit à son fils, mon grand-père [le Rabbi Maharach] : Le Chabbat Bechala’h 5565 (1805), mon grand-père [l’Admour Hazakène] récita ce maamar. Puis, il m’appela et me raconta qu’en 5529 (1769), alors qu’il était à Mézeritch, le Maguid l’avait convoqué dans son bureau et lui avait dit:
Le Chabbat Bechala’h 5516 (1756), le Baal Chem Tov prononça un maamar sur Vayachav hayam... leeitano,1 « et la Mer Rouge retrouva sa puissance », citant la double lecture que donnent les Sages du dernier mot : leeitano – litnao, sa condition.2 En 5521 (1761), un an après que le Baal Chem Tov ait quitté ce monde, mon maître (le Baal Chem Tov) vint me voir, poursuivit le Maguid, et il récita ce maamar. Il y ajouta une explication sur la notion d’« accomplir Sa volonté » par opposition à « accomplir Sa parole ». Aujourd’hui, mon maître est à nouveau venu me voir et il m’a répété ce maamar.
Le Maguid le répéta ensuite devant l’Admour Hazakène et y ajouta une explication sur le fleuve Guinaï,3 épisode qui est comparable à Kriyat Yam Souf, l’ouverture de la Mer Rouge.
Le Tséma’h Tsédek conclut : Aujourd’hui, le Baal Chem Tov, le Maguid et l’Admour Hazakène sont venus me voir et chacun d’entre eux m’a répété ce maamar à sa façon.
Quelques heures plus tard, le Tséma’h Tsédek appela de nouveau mon grand-père et récita devant lui un commentaire de ce maamar.