Lundi | 17 Adar I | 5703 |
Études de Torah : | ‘Houmach : Ki Tissa, Chéni avec Rachi. | |
Tehilim : 83-87. | ||
Tanya : En vérité, cependant (p. 135)... le cœur par nature (p. 135). |
De nombreuses années avant l’emprisonnement de l’Admour Hazakène à Pétersbourg en 5559 (1798), il sortit une fois de ses quartiers privés vers l’endroit où se rassemblaient les ‘hassidim et dit : « Dans le Gan Éden1, on perçoit la valeur précieuse de ce monde inférieur. Non seulement les Anges du Service, mais même les premières Émanations2 renonceraient à tout pour un Amen Yéhé Chémeh Rabba prononcé par un Juif « de toute sa force », c’est-à-dire avec une concentration totale, impliqué entièrement dans ces paroles. »
Ce fut tout ce qu’il dit. L’effet fut tel qu’il alluma une flamme et un enthousiasme si brûlant en tous ceux qui l’entendirent que durant une année entière leur Amen Yéhé Chémeh Rabba fut enflammé.