Jeudi | 24 Kislev, veille de 'Hanouka | 5703 |
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‘Houmach: ‘Hamichi de Vayéchev avec Rachi. | |
Tehilim: 113-118. | ||
Tanya: Ch. 1. Il a été enseigné (p. 1)...(modes d’interprétation). (p. 3). |
(Suite du 23 Kislev) Une explication de ces trois versets – lekhou neranena – accessible à tous est la suivante :
Le mercredi, lorsque l’on commence à réfléchir : qu’aura-t-on pour célébrer le Chabbat ? La question se pose autant au sens simple que dans un sens spirituel : de quoi sera-t-on en mesure de remplir le Chabbat ? – car, le Chabbat, chaque Juif devient une personne radicalement différente –, on devient mélancolique. La solution à cela est : lekhou neranena, (« chantons donc »), ayons confiance en D.ieu.
Le jeudi, le Chabbat est encore plus proche et l’on est toujours démuni, dans une situation qui n’incite pas vraiment au « neranena » ; il apparaît alors clairement qu’il faut faire quelque chose.
Aussi, lorsque l’on étudie la ‘Hassidout dans la nuit de jeudi, on perçoit le vendredi que « l’Éternel est un Grand D.ieu et un Grand Roi ».1 ; et avec cela, un Juif peut faire Chabbat.
À Min’ha, on ne dit pas ta’hanoun.