La précédente section Livre du Lévitique évoquait les lois de l’impureté rituelle causée par les animaux morts. Dans la présente section, la Torah poursuit avec les lois relatives à l’impureté rituelle associée aux êtres humains. Elle présente d’abord l’impureté rituelle qui affecte immédiatement une femme juive qui a mis au monde (Tazria, en hébreu). La fierté bien compréhensible qu’une femme peut éprouver après avoir donné naissance l’empêche d’être pétrie de l’humilité absolue requise pour pénétrer dans le Tabernacle. Elle est ainsi obligée de vivre une période de sept jours d’un processus de purification au terme duquel elle peut de nouveau se rendre au Tabernacle et participer à ses rituels. La seconde sorte d’impureté évoquée dans cette section est une affection qui n’a plus cours à notre époque, connue sous le nom de tsaraat et qui apparaissait sur la peau, les vêtements ou les murs du foyer d’une personne juive.
Poursuivant le contenu de la section précédente, la cinquième section du Livre du Lévitique s’ouvre avec les rituels auxquels la personne affectée de tsaraat (Metsora, en hébreu) devait se conformer pour être à nouveau admise à l’intérieur du Tabernacle. Elle décrit la façon dont la tsaraat peut apparaître sur des maisons et comment les maisons affectées en sont purifiées. Enfin, elle évoque les différentes formes d’impureté rituelle résultant de certains écoulements corporels.
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