Le fait que même l’ultime année de la vie de Moïse ne demeura pas inachevée indique qu’il vécut pleinement sa vie, sans avoir jamais gâché du temps ni négligé une tâche qui lui avait été assignée.
Le fait que l’existence physique de Moïse ait si parfaitement fait écho à son existence spirituelle atteste qu’il parvint à transcender le clivage entre le spirituel et le matériel : sa perfection spirituelle se refléta dans cette manifestation de complétude physique.
La vie de Moïse doit nous inspirer à vivre notre propre existence avec plénitude, la conscience de notre mission divine imprégnant chaque instant et chaque domaine de notre vie. Un tel vécu fait se dissoudre le clivage artificiel entre le spirituel et le physique, révélant le Divin inné qui sous-tend toute la réalité.1
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