Quiconque avait commis un meurtre involontairement devait demeurer dans sa ville de refuge. Il ne lui était pas permis de la quitter, car, en le faisant, il s’exposait à la vengeance du parent de sa victime, lequel était légalement habilité à le tuer. Le meurtrier involontaire n’avait pas la permission de quitter sa ville de refuge, fût-ce pour sauver la vie d’une autre personne.
De façon similaire, la Torah constitue notre « ville de refuge ». À l’intérieur de la Torah et du mode de vie que D.ieu nous a prescrit, nous sommes spirituellement vivants ; si nous nous aventurons à l’extérieur du périmètre de la Torah et de son mode de vie, nous nous exposons à un risque de mort spirituelle.
La chose est vraie même s’il apparaît que nous pouvons sauver la vie d’une autre personne en faisant quelques compromis dans le domaine des injonctions de la Torah. La Torah est synonyme de vie, aussi c’est seulement à travers la loyauté envers ses principes que nous pouvons à la fois maintenir notre propre vitalité spirituelle et préserver ou améliorer la vitalité spirituelle des autres.1
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