L’eau et le feu sont respectivement issus, et sont l’expression, des attributs divins de miséricorde et de sévérité. Ainsi, le caractère unique de la plaie de la grêle fut le mélange de glace et de feu qui la constituait, de miséricorde et de sévérité divines. De même, bien que ce fût une plaie particulièrement dure comme le montre l’avertissement sévère qui l’avait précédée, ce même avertissement comportait des instructions bienveillantes sur la façon de l’éviter.
Seul D.ieu peut supplanter la nature et associer le feu et la glace. De même, c’est seulement en nous élevant au-delà de nos limites naturelles et en nous reliant à D.ieu que nous pouvons être à la fois stricts et magnanimes, tant pour notre propre bien que pour celui des autres.1
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